tandis qu'elle s’enfonçait plus beaucoup dans la forêt, elle créa que les arbres eux-mêmes semblaient lui préciser le chemin. Les signaux d’Olivier avaient été clairs : il ne s’agissait pas de chercher activement les réponses, mais de les laisser venir inopinément à soi, de garder la nature révéler ce qu'elle avait à dire. La voyance par courrier électronique, dans ce contexte, n’était pas une activité inactive. Elle demandait une ouverture d’esprit, une volonté d’écouter ce qui est invisible aux yeux, mais palpable à l'invisible. L’atmosphère dans la forêt changea brusquement. Une crachin légère se mit à napper les troncs des bosquets, laissant à l’endroit une aura presque hors du commun. Olivier, dans un précédent envoi d'information, lui avait parlé de quelques instants où la nature se montre sous un nouveau jour, alors que critères s'unissent pour créer des atmosphères adaptés à la réflexion intérieure. La embrun, suivant lui, était un personnalité de mystère, de l’inconnu qui s’apprête à s'exhiber. Elle comprit que cet instant dans la forêt n’était pas anodin. La nature, tout comme sa propre vie, cachait encore du mystère qu’elle n’était peut-être pas prête à défendre. Elle se souvint d’un autre appel d’Olivier, où il lui avait exposé que la forêt, de façon identique à un subterfuge, pouvait quelquefois représenter les méandres de l’esprit humain. Se perdre dans une forêt, disait-il, c’était comme tronquer en seul, mais il ne fallait pas craindre ces sales périodes d’égarement. Car ce sont plus exactement dans ces moments de scandale que les plus grandes solutions se produisent. La divination par courrier électronique, dans son essence, n'était pas là dans la finalité les moments de doute, mais pour les avertir. La brouillard s’épaissit, et elle s’arrêta au beau milieu d’une clairière. Là, tout semblait inerte. Le motus était définitif, presque oppressif, mais en coin et place de se sentir trouble, elle ressentit une un peu excentrique sensation de relaxation. Olivier lui avait habituellement parlé, dans ses données par email, de l’importance du silence, de la façon avec laquelle il pouvait dire des vérités que le dépêche et le fouillis de la vie quotidienne empêchaient de sentir.

Elle ferma les yeux, laissant la frimas l’envelopper, et dans ce motus important, elle ressentit une connexion encore plus forte avec la nature. La forêt semblait maintenant respirer avec elle, et elle comprit que les informations qu’elle cherchait n’étaient proche. Olivier avait raison pendant le début : la voyance par les cartes par email non coûteuse qu’il pratiquait n’était pas seulement une façon de prédire l’avenir, mais une manière de se reconnecter aux atouts invisibles qui nous entourent. La smog s’épaissit, et elle s’arrêta en plein milieu d’une laie. Là, tout semblait oisif. Le paix était complet, presque opprimant, mais en pays et place de se ressentir tourmente, elle ressentit une choquant perception de paix. Olivier lui avait généralement parlé, dans ses prédictions par email, de l’importance du repos, de la technique avec laquelle il pouvait prédire des vérités que le bruit et le fouillis du quotidien empêchaient de savoir. Elle ferma les yeux, laissant la bruine l’envelopper, et dans ce paix profond, elle ressentit une connectivité encore voyance par mail pas chère plus grosse avec la nature. La forêt semblait à présent souffler avec elle, et elle comprit que les intuitions qu’elle cherchait n’étaient à côté. Olivier avait raison durant le top départ : la tarologie par email économique qu’il pratiquait n’était pas seulement une astuce de prévoir l’avenir, mais une manière de se reconnecter aux forces invisibles qui nous entourent. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, la embrun commençait déjà à couler, laissant place à une forêt redevenue nette et ouverte. Elle se sentait remplacée, transformée par cette expérience. toute arbre, chaque feuille, chaque souffle de vent dans cette forêt lui avait apporté un énoncé, une détermination plus profonde d’elle-même. Olivier, à travers ses mail, lui avait aidé de voir ce que la plupart des gens ne remarquent jamais : la nature parle, et il est nécessaire d'avoir conscience de être en harmonie avec.

Les correspondances mails d’Olivier se faisaient de plus en plus bien pourvus en points, l’incitant à surveiller pas seulement les étoiles, et aussi les progressions des astres. Il lui expliqua que les repères des planètes à quelques étapes des mois de l'année pouvaient avoir un déséquilibre sur ses coups de déprime, ses décisions, et même sur les possibilités qui se annonçaient à elle. « Lorsque Vénus est en réactionnaire, » écrivit-il au minimum 2 fois, « il est temps de connaître tes relations, façon dont tu donnes et reçois de l’amour. » Ce coup de frais de la voyance par les cartes par e-mail avantageuse la fascina davantage. Le cosmos, avec ses mouvements perpétuels, lui offrait un cadre d'assimilation et de conception, une astuce de voir mentionnés les vibrations qui influençaient son existence quotidienne. Grâce à Olivier, elle ne se contentait plus de regarder les étoiles tels que des accessoires anciens et inaccessibles. Elles étaient des alliés de voyage, des parrains de sa propre évolution. Un soir, dans ce cas qu’elle observait une éclipse sélénien, elle se sentit plus connectée que jamais aux enseignements d’Olivier. La mois lunaire, les étoiles, les planètes… tout semblait s’aligner pour lui rappeler que l’univers avait des plans pour elle, qu’elle n'était pas seule dans sa vaste quête de nature. La guidance de voyance par courrier électronique avantageuse, à travers les signaux réguliers d’Olivier, avait élargi sa vision du monde, l’avait élévation à comprendre que tout était interconnecté, et que les étoiles avaient autant à dire que les arbres, les rivières ou les forêts.